Étiquette : Loir-et-Cher

  • Records de chaleur du 02 Novembre 2011

    Bonjour à tous,

    trois records de chaleur ont été battus hier dans les régions Centre et Centrales.

     

    Les trois villes concernées sont :

    – Avord (Cher – 18) : avec 21.7°C (ancien record 20.6°C)

    – Nevers (Nièvre – 58) : avec 21.7°C (ancien record 21.6°C)

    – Romorantin (Loir-et-Cher – 41) avec 21°C (ancien record 20.5°C)

     

    La journée d’hier a en effet présenté une température moyenne de 13.686°C soit + 4.337°C par rapport aux normes.

    La température maximale moyenne régionale était de 21.029°C soit +7.719°C par rapport aux normes, ce qui explique en partie les trois records battus.

    Bonne journée à toutes et à tous.

  • Vague pluvieuse du 1er Novembre 2011 dans les régions Centre et Centrales

    Bonjour à tous,

    la vague pluvieuse ne s’est pas déroulée exactement comme prévu hier.

    En effet, cette perturbation devait s’activer vers l’Est de nos régions, finalement comme le montre la carte ci-dessous elle s’est activée sur l’Ouest des régions Centrales.

    Pluvio 1er novembre

    Comme vous pouvez le remarquer les cumuls les plus importants se sont produits entre Blois, le Nord de l’Indre et l’Est de l’Indre-et-Loire.

    Bonne journée à toutes et à tous.

  • Irrigation : la sécheresse évitée de justesse – Loir-et-Cher le 21 Août 2009

    La campagne d’irrigation se termine en Loir-et-Cher. Elle n’aura pas été trop pénalisée par les restrictions des prélèvements.

    L’état de sécheresse n’est pas encore déclaré, cependant une trentaine de départements, pour la majorité située dans la moitié nord du pays, font depuis ces dernières semaines l’objet de limitation dans l’usage de l’eau. Nappes phréatiques et rivières tirent la langue, malaise chronique d’été ensoleillé.

    Les restrictions sur les prélèvements ne sont pas considérées comme la conséquence directe d’un épisode de sécheresse mais révèle plutôt un déficit devenu structurel. Dans certains secteurs, malgré une pluviométrie annuelle correcte, dès l’arrivée des beaux jours et de la chaleur, la nécessité d’arroser les cultures provoque ces abaissements des niveaux. Le Loir-et-Cher et seize autres départements dont ceux de la région Centre, connaissent cette situation. Tous sont passés en restriction du premier ou du second niveau, autrement dit dans l’obligation d’appliquer des mesures de limitation des usages entre une journée à sept jours sur sept. « On ne peut pas parler d’une véritable sécheresse », commente Pierre Cormier, président des irrigants de Loir-et-Cher. « La campagne se termine et plusieurs secteurs du Loir-et-Cher ont bénéficié de précipitations au moment opportun. »

    Le franchissement des seuils de références est signalé pour les bassins versants de la Brenne, la Tronne et des affluents du Loir. Les irrigants dépendant de ces cours d’eau tiennent à jour un carnet de suivi hebdomadaire et par quinzaine des installations de prélèvement. Ils ont obligation de réduire de 20 % voire même de 50 % le volume qui leur est accordé. Suivant ces mêmes dispositifs, le remplissage des plans d’eau à usage de loisirs et des étangs est interdit.

    Des mesures identiques sont appliquées pour la Braye où les débits journaliers à la station de référence sont inférieurs à la normale. « La situation est assez contrastée dans le département », explique Patrick Grandbarbe adjoint à la direction de la DDEA. « Les mesures ont été prises à partir de trois arrêtés préfectoraux et c’est le nord de la Loire qui est le plus concerné, notamment la Braye qui a subi une forte diminution de son débit cet été. » Au nord, le seuil de vigilance est observé pour la Sauldre et le Beuvron, sans restriction pour le moment. « Si l’on parle de sécheresse au plan national pour certaines régions, ce n’est pas encore la situation vécue localement », précise Patrick Grandbarbe.

    Source : La Nouvelle République

  • Parés pour faire face à la journée la plus chaude – Blois – Loir-et-Cher le 20 Août 2009

    Hier, journée la plus chaude de l’été… vécue sans stress dans les maisons de retraite. A Blois, le portage d’eau à domicile a passé la surmultipliée.

    La journée la plus chaude de l’été est arrivée ! Par conséquent, le risque de malaises et autres coup de chaleur est élevé… Et comme une (mauvaise ?) nouvelle n’arrive jamais seule, le seuil d’alerte à la pollution a été franchi, ce qui peut également provoquer insuffisances respiratoires ou cardiaques. Heureusement, tout est mis en œuvre depuis le début de l’été, et en particulier en ce mois d’août caniculaire, pour parer à toutes les situations.

    Les 15.000 morts de la canicule de 2003 ont donc servi de leçon. Dans les maisons de retraite, le plan bleu canicule est activé : pièce rafraîchie pour les pensionnaires, une réhydratation régulière, des ventilateurs dans les couloirs et/ou chambres… Avec parfois quelques difficultés. « La plupart des gens résistent car ils ne ressentent pas la chaleur. Il faut batailler ! » explique une aide-soignante. La surveillance des pensionnaires est donc de mise. Idem dans les hôpitaux, habitués également à ces fortes chaleurs.

    La ville de Blois a aussi mis en place le plan « Solidarité Été », que les personnes dans le besoin (personnes âgées, à mobilité réduite, en difficulté sociale…), peuvent contacter par le biais du CLIC (centre local d’information et de coordination). Mais alors que le rôle des quatre salariés est avant tout social, la journée de mercredi fut exceptionnelle. « On a livré de l’eau à soixante personnes ce matin, et on fait la même chose cet après-midi. D’habitude, on reste environ une demi-heure voire une heure avec les gens, mais là il fait très chaud et on doit avant tout donner de l’eau à tout le monde. » Y compris parfois des personnes en détresse qu’ils croisent dans la rue, comme des sans-abri.

    Cependant, le véritable problème reste l’isolement de certaines personnes, ce qui peut conduire à des situations précaires. « On voudrait développer une solidarité de proximité. Quand quelqu’un voit que les volets du voisin sont fermés depuis plusieurs jours, il devrait voir ce qui se passe, si la personne n’a pas besoin d’aide. »

    Source : La Nouvelle République